JYG ( XXe )
Comme le
hasard est bien fait, de ce que l'on dit;
Un jour, d'avant le printemps, elle m'est apparue pleine de vie,
ancienne, mais non vieille elle avait ce charme plein de rêves
alors de concert nous avons décidé d'y entrer.
Des couleurs du charmes de l'espace et de la chaleur
elle nous a transandé, émerveillé, rempli le coeur.
Dotée d'une forte personnalité, il aura fallu lutter pour la dompter
elle aura imposé sa volonté et par caractère nous avons résister.
Et même lorsque nous la sentions docile,
elle aura fait la difficile.
Elle a sans doute voulu nous montrer
qu'elle avait une forte personnalité.
Alors, nous avons encore et encore resister avec force,
pour qu'elle succombe sous notre charme véloce.
Elle nous aura fait souffrir et nous aura fait aimer
et pourtant il faut la quitter.
Ce n'est pas de notre fait, mais juste que son maitre en a décider
et peu de temps nous aura été accordé pour nous organiser.
C'est avec grand remords et tristesses
qu'il faudra vivre ce stress.
Belle tu étais, et belle je te quitterai.
Lorqu'avec recul je t'observe et te sent
j'ai compris quel était ton firmament.
Tes recoins et ta vie, pleine d'histoire
nous auront conduit, nous auront séduit sans déboire
vers d'autres oasis bourrés d'espoir.
Je savais déja, que la pierre parlait et vivait
mais avec toi j'ai ressenti pleinement ce qui existait.
Ancienne mais non vieille, pleine de vie et si belle
j'ai mal à te quitter, parce que mes yeux avaient vu d'autres vérité.
Peut-être, en réalité, est ce toi qui veut me quitter.
Puisque je te ressens, que je perçois ton existence,
que ta mémoire imprégnée d'histoire t'a donné la force,
tu auras sans doute voulu en confirmer les sens,
alors les réponses te seront apparues, transpirantes de ton écorce.
Je t'ai rencontré belle et sale,
je t'ai porté sur un pied d'estale,
tu me joues ce tour de diable,
je pleure de voir que tu es responsable.
Si un soupson d'espoir il subsiste
j'aimerai que tu me parles que tu existes
que tu reviennes sur ton infernal cirque
que ton maitre tu envoies ballader
qu'enfin tu renaisses de cendres accumulées
et qu'ensemble nous partagions
de nouveaux horizons.
JYG
Mai 2002
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